La salle plénière de la mairie a accueilli hier la constitution du premier Conseil de prévention de la santé à Calp. Il s’agit d’un organe créé par le bureau du conseiller en charge du bien-être social, de l’égalité, de la protection de la santé et de la famille, dont Itziar Doval est à la tête, et qui cherche à promouvoir la santé communautaire à Calp, ainsi qu’à identifier et stimuler les ressources actives pour la promotion de la santé. Dans le même temps, le conseil vise également à promouvoir la participation citoyenne au sein de ces organes, en essayant de donner la parole à d’autres associations qui ont des propositions à faire sur des questions de santé et qu’elles souhaitent présenter.
Les coordinateurs de la zone basique de santé de Calp, une représentante de l’hôpital La Marina Salud de Dénia, la conseillère de la prévention de la santé, Itziar Doval et les associations en lien avec la santé comme l’Association des femmes pour l’égalité à Calp, AMADEM, l’Association des personnes handicapées de Calp, l’Association de fibromyalgie, Croix-Rouge et Association des femmes au foyer ont participé à la constitution du conseil.
Lors du conseil, Piero Cáceres, coordinateur de la zone basique de santé du centre de santé de Calp, a été nommé président, Toñi Artacho Tellado, présidente des Femmes pour l’égalité de Calp, vice-présidente, Raquel López, membre de l’équipe de médecine générale de la zone basique de santé, secrétaire, et Iziar Doval, Pilar Rey de Femmes pour l’égalité, Gloria Marín de l’Association de fibromyalgie, Consuelo Moragues d’AMADEM, Chely Crespo de la Croix-Rouge, Pedro Calatayud, représentant des pharmacies locales et Noelia Mayans, coordinatrice de l’infirmerie du centre de santé ont été nommés membres.
La conseillère Itziar Doval a souligné que « avec ce conseil nous cherchons à mettre la santé au cœur des politiques, connaître l’état général de santé, le style de vie et les préoccupations des habitants en matière de santé, identifier quels sont les problèmes de santé qui inquiètent le plus les citoyens et quels sont ceux qu’ils jugent prioritaires et ainsi définir les lignes d’action en matière de santé ».